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Un peu de mélancolie dans l'esprit et du spleen dans les veines

Un peu de mélancolie dans l'esprit et du spleen dans les veines
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Un peu de mélancolie dans l'esprit et du spleen dans les veines
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4 novembre 2008

“ C'est facile d'arrêter de fumer, j'arrête 20 fois par jour! ” Oscar Wilde

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Ma dépendance : leurs sourirs .

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28 octobre 2008

“ Bien écrire, c'est le contraire d'écrire bien. ” Paul Morand

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Need Modèle pour son Arts Plastiques =$ !!

28 octobre 2008

"Seul l'amour non satisfait est romantique" Woody Allen

DSCF1781Je ne veux pas d'un Amour sage et tranquille . Je ne t'ai pas habitué à ça . Tu ne m'as pas habitué à ça . Nous, nous sommes des passionnés . Toujours le coeur brûlant, l'âme en peine ou mordante, c'est tout ou rien, et même si c'est plus souvent le tout, nous savons que rien n'est jamais acquis, demain je peux te perdre, hier j'aurais pu partir . Le blanc ou le noir, rien d'autre, nous sommes tous ces rires éclatants, ces larmes fracassantes, ces cris à s'en péter les cordes vocales . Nous vivons dans l'extrême, au delà de ces limites qu'on prend plaisir à détruire . Nous vivons dans la fougue perpétuelle, l'éternelle insatisfaction, cette violence qui prend aux tripes, cette tendresse démesurée . Nous agissons parce que nous avons envie . Aucun compromis . Nous n'avons aucune philosophie, de vraies têtes brûlées qui s'en foutent du monde entier, qui préfèrent avoir la tête tournée vers ce ciel étoilé que face contre terre . Nous faisons tout résider dans la sensation, dans le ressenti . Jouer avec l'amour comme si nous étions des gosses . Vivre dans l'impulsion, dans la connerie, être nous-même des petits cons capricieux et égoistes qui vont là où bon leur semble . Vivre pour ce putain d'être qui nous accapare. Je t'aime, je te hais, tu me fais l'amour, je te fais la guerre . Je t'agace, tu m'enlaces . Aucun bon sens, aucune raison... Nous piétinons, brûlons, déchirons, arrachons . Jalousons, toujours . Oh oui ! Cette jalousie qui nous bouffe les entrailles, qui nous rend ivres de rage . Nous sommes dingues, je vous le certifie ! Il nous manque des cases, celles de l'équilibre, de la stabilité et du bien pensé . On déteste, on adore, on défend, on se défend . On a trop souffert pour se taire, je crois que plusieurs fois nous sommes morts, alors adieu le monde, bonjour la paix .

26 octobre 2008

"C'est lorsqu'on considère que des hommes se battent pour leur ambitions qu'on les admire "

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...Et j'aurais du fric. Suffisament de fric pour rouler cotidiennement en taxi .Même pour 50 mètres .Tellement assez que j'en claquerais autant que vous dépenser pour acheter un appartement simplement pour quelques objets futiles. Il n'y aurait plus l'autorité parentale. Je l'aurais amoindris ou même effacer. Je grandirais dans le strass & les paillettes, dans cette jet-set incontestablement enviée. Avec lui. Rien que lui. On aurait la majorité et on s'aimerait comme aux premiers jours. On passerait la vie à rien foutre, à faire des pieds de nez au monde entier, de vraies têtes brûlées. A claquer du fric à chaque coin de rue, à donner des pourboires démesurés pour fumer impassiblement en lieux public. Nous possèderions tout les droits sur la vie et nos congénères. On rirait des pauvres, de ceux qui roulent en voiture à crédit, qui n'achète que des contrefaçons pour paraître riches. Et puis on vieillira. Les rides s'imposeront sur nos visages accablés. Passer la quarantaine madame s'offrira multiples liftings et bouffira ses lèvres, sans oublier de parfaire ce foutu nez qu'elle a tant détesté. Même s'il la trouve belle comme lors des premiers instants communs. J'aurais une effigie cartonnée et lisse à l'excès. Nos mômes partiront faire leurs études à distance pour irrémédiablement nous abandonner et nous laisser crever. Ni reproches ni états d'âme. Vingt année auparavant, c'était nous qui claquions la porte pour foutre le camp .On aura tout ce qu'on aurait voulu avoir. & On crèvera serein. Ou presque. La vie fut plate .Trop confortable. Sans but précis, sans rêves, sans grandes ambitions. Né avec une cuillère en argent dans l'œsophage. Tout ce dont auquel on voulais parvenir fut immédiatement exaucé en un claquement de doigt. On s'attardera sur nos regrets et sur nos vies moroses .Sans connaître les difficultés et les enchaînements dramatiques de cette foutu destinée. Et même à jalouser les gens qui combattent leur faim et leur maladie. On se détestera d'avoir autant d'aubaine, on se lamentera à s'en foutre en l'air avant l'heure. Mais ce n'est que réalité lorsque les rêves vous gardes les pieds sur terre, même si vient le point de nous surpasser, de nous claquer les nerfs, à enchaîner cigarettes sur cigarettes. On aurait pus être fière de nos égaux. Il nous amènerait à penser que la vie valait la peine d'être vécu malgré les difficultés engendrées .On se relèverait promptement et on pourrait déclaré que nous nous étions battu pour y parvenir. On avait trouvé un sens à nos vies. On s'était tué à les réaliser, et on aurait pus rendre l'âme placidement. On n'avait pas pensé que la vie serait si superflue sans rêves ni pénuries. C'est lorsqu'on considère des hommes se battre pour leur ambitions qu'on les admire et qu'on les envie. & finalement, chez nous, y a jamais rien eu à envier.

CASSIE

26 octobre 2008

“ Aucun crime n'est vulgaire, mais la vulgarité est un crime. ” Oscar Wilde

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Ou l'antithèse de la béatitute

Simple éternelle insatisfaite.

Amicalement votre, CASSIE 

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